Mogore

Ce que j’aime lire et ce que j’aime écrire

A force de suivre des blogs, professionnels ou personnels, je me suis aperçu que les billets qui m’intéressaient le plus. étaient des sélections de produits sympas, des réalisations personnelles (couture, loisirs créatifs bien entendu,  mais aussi menuiserie par exemple) et des billets d’humeur,  qui reflètent la personnalité de l’hôte du blog. Ou alors, qui relatent une histoire, les difficultés rencontrées et les joies ressenties.
Ironiquement durant de nombreuses années de blog, je n’ai jamais été portée sur le déballage sentimental. Mais si je veux communiquer avec des gens qui me ressemblent, ne puis-je pas publier ce que j’aime lire chez les autres ?

Manger, bouger

Ce matin, tous les éléments étaient contre moi : il pleuvait fort, j’ai le pied blessé, et ce soir je dois aller chercher les enfants, cela signifie de porter leurs affaires. Et pourtant, une envie irrépressible d’agir, de faire quelque chose contre ma sédentarisation.

Hier soir, je me lamentais devant mon gras. Je ne sais pas comment le déloger. Le problème n’est pas le gras, en fait, c’est le volume qu’il occupe et qui m’oblige à acheter des nouveaux vêtements. C’est les mouvements qu’il entrave et la silhouette qu’il me fait.

J’aimerais me coudre des beaux habits, du sur-mesure. Et mon gras ne me permet pas d’avoir accès à toutes les tailles, et donc tous les modèles disponibles.

Ce matin, j’ai pris mon vélo pour me déplacer. J’ai commencé par pester contre la pluie, par essayer de juguler ma peur des freins glissants (aquaplanning cycliste). Et puis, je me suis prise au jeu d’arriver à tel feu avant telle voiture, d’éviter des piétons, de signaler au mieux mes intentions et de respecter au maximum le code de la route.

Choisir, c’est mourir un peu

Faire un choix est toujours difficile pour moi. J’ai vraiment l’impression de laisser un potentiel s’évanouir dans la nature. J’ai par chance, récemment vu une conférence sur le fait de retarder au maximum le choix à faire. Chaque jour, je travaille un peu plus sur la mort de certaines options. Je sais qu’en faisant un choix, je me ferme des portes, et je sais également que j’avance sur le chemin, et que je vais rencontrer des opportunités que je n’aurais jamais vues en restant au bord du chemin. Choisir, c’est aussi avancer.

La continuité

J’écris sporadiquement ici pour plusieurs raisons. Une raison simple est que j’écris sur plusieurs (trop?) blogs à la fois. Du coup, les mises à jour que je peux faire ici sont diluées.
J’ai toujours fragmenté ma vie numérique, en séparant les profils pro et perso. Ici je parle de lectures, de couture, de déco et parfois de mes états d’âme. Ailleurs, je parle de boulot, de technique, de RH et de management. Ailleurs encore, je parle de ma famille. Ailleurs je parle de mes sentiments. Sur diverses plate-formes techniques en plus…interopérabilité, mon amour.

Je ne pense pas réunir le tout. Certains ont les clefs de tout ces endroits. Ceux qui me connaissent depuis longtemps
J’ai un peu le sentiment d’être à la tête d’un réseau de blogs : un genre de mafia, où seule moi connaît l’ensemble de ce qui existe. Lâcher ce sentiment de puissance (puéril ?), vous le feriez ?
Depuis longtemps, j’ai une fascination pour le concept de réseau décentralise qui a été fondateur pour Internet. Si jamais un de mes blogs « tombe », il me restera les autres. Si mon pseudonymat Mogore est cramé, il me restera les autres. (Ceux qui sont assez malins peuvent remonter jusqu’à mon vrai nom facilement…)
Le seul souci que je rencontre est que mes centres d’intérêts sont parfois entremêlés. Les sujets qui me passionnent sont variés mais ont un rapport. Mettons que je m’interesse aux romans de SF et à la Russie et que je tiens un blog sur chaque sujet, pour l’exemple. Un roman russe ou en rapport avec la Russie, où en parler ?
Ou un Russe qui parlerait de GTD ?

Bref, je suis tiraillée entre la puissance de « savoir » et la simplicité.

La place du travail

Grâce à l’ouvrage La place du travail, éd Psychologies magazine, j’ai été amenée à réfléchir à mon travail. C’est à dire à l’activité pour laquelle je suis payée.
Dans cet ouvrage, il est rappelé que les bourgeois étaient fiers de ne surtout pas travailler, et de laisser le « boulot » à d’autres. Donc ils vivaient une vie entière sans travailler !

Ce qui m’a le plus marqué, c’est la notion que « tu n’es pas ton travail ».
Je m’aperçois que je donne beaucoup d’importance à mon travail en tant que statut social. Pour moi, être au chômage c’est quelque chose de négatif, alors que je me plains du manque de temps et qu’une période de chômage serait un moment pour réfléchir.
Actuellement, mon travail n’est pas gratifiant pour plusieurs raisons : le discours de mes supérieurs vise à déstabiliser une équipe auparavant soudée, notre travail n’est pas reconnu et même considéré comme inutile et faisant partie du passé.

Astuce ménagère

Une astuce toute bête, vue dans une colocation : couper le coin de l’éponge de ménage. Vous savez la vieille éponge qui ne sert plus qu’à nettoyer l’évier ou le sol.

Sticker mural hibou géant

Si tu veux vraiment me faire plaisir, voilà ce que tu peux m’offrir. Il fait plus d’un mètre de haut, c’est extra !

Muurstickers Forest Friends | Levensechte dieren rechtstreeks uit het bos..

Cloud Lampion by Petit Pan

La légèreté du nuage est bien reprise par la transparence et l’air qui circule entre les couches, je trouve.

via  Cloud Lampion by Petit Pan « Babyccino Kids: Daily tips, Children’s products, Craft ideas, Recipes & More.

Etagère d’angle

Une étagère à mettre en angle, aussi bien dans un creux que sur une arête (et là, ça devient super chouette, je trouve).

Possible de se le faire soi-même, vous pensez ?

Framing shelf, l’étagère d’angle par Martina Carpelan.

Tirelire Bank : simple, sobre

On pense aux moules à gâteau flexibles mais voilà une tirelire en silicone…pas bête.

Bank une tirelire tout simple par big Game.